Halloween est parfois l'occasion de se féminiser et ....

Voilà, je vais vous raconter ma première expérience homosexuelle, elle fut vraiment très troublante, mais je vais vous laisser en juger par vous-même. À l’époque j’avais tout juste 18 ans, j’étais encore puceau, mais ne me plaignait pas de ma situation. J’étais plutôt bien foutu, je mesurais 1m72 et faisait 68kg, j’étais également totalement imberbe.

Mon histoire se passe le week-end d’Halloween, j’avais été invité à une fête costumée qui allait se dérouler à quelques dizaines de kilomètres de chez moi. N’ayant pas la possibilité de rentrer chez moi après la fête, c’est tout naturellement que mon meilleur ami, habitant sur place, me propose de rester dormir chez lui. Ce que j’ai tout naturellement accepté immédiatement. Nous avons donc décidé de choisir nos déguisements ensemble, nous sommes donc aller dans un magasin de location de costume pour en trouver deux.

Nous nous sommes donc retrouvé un mercredi après-midi après que les cours fussent finis.

• Salut, alors prêt à aller chercher ton costume ? Lui dis-je.
• Bien sûr, par contre j’espère qu’il en restera à une semaine de la fête.
• Arrêtes, ça serait vraiment pas cool si on en trouvait pas…
• Bon, on entre ?
• Bien sûr ! Nous sommes donc entrés dans le magasin pour constater que celui-ci était désespérément vide. Il ne devait rester qu’une dizaine de costume dans le magasin. La vendeuse nous accueille :
• Bonjour messieurs, que puis-je faire pour vous ?
• Bonjour madame, nous sommes à la recherche de deux costumes pour la semaine prochaine. Répondit Sacha, mon meilleur ami.
• Ah, écoutez, on va voir ce qu’on peut trouver, car comme vous pouvez le voir, à une semaine d’Halloween, il ne reste plus grand-chose…

Elle commence à chercher dans les rayons, prend des costumes, se retourne, nous regarde avant de les remettre en place. Cela dure plusieurs minutes, Sacha et moi sommes assez mal à l’aise de devoir attendre comme ça, sans rien dire. Quand soudain, elle s’exclame : « ça y est, j’ai trouvé deux petites choses ! »

• Par contre, je suis désolée pour vous, mais il s’agit d’un costume pour femme… Me dit-elle.
• Ahah, mais il n’y a pas de soucis ! S’exclama Sacha avant que je n’ai le temps de réagir.
• Euh, ouai, ça va aller madame. Dis-je.
• Ah, alors c’est tout bon, nous avons donc un costume de Cow-boy et un de diablesse. Répondit-elle. Quelle pointure faites vous ?

Nous rentrons donc chez lui afin de faire quelques essayages, lui enfila son costume de Cow-boy et moi je me décidai à enfiler le costume de diablesse, il comprenait une petite robe noire dont le bas était rouge vif, elle s’arrêtait à mi-cuisse, elle était adjointe d’un porte jarretelle directement cousus dans la robe, des bas noire en résille, dont la partie supérieure était surmonté d’un petit nœud en satin rouge.

La vendeuse avait mis avec, et ça je m’en rendais compte que maintenant, une paire d’escarpin rouge vif à haut talon d’au moins 10 centimètres, une perruque longue brune ainsi qu’un paire de faux seins en silicone de bonnet C. J’étais vraiment troublé de trouver toutes ces choses en plus, surtout que je n’avais rien demandé.

J’enfilai donc le tout, j’ai commencé par enfiler les bas, puis je passai la petite robe noire, j’attachai les jarretelles aux bas, enfilai les faux seins dans la robe, enfilai les escarpins à talons hauts et j’ajustai la perruque sur ma tête, plaçai le diadème à cornes rouges et me saisis du trident. Et là, je me vis dans le miroir de la chambre et je m’excitai, j’étais vraiment très belle, j’aurais croisé une femme comme celle que je voyais, j’en serais resté bouche bée un moment, en fait, je fus tiré de ma rêverie par le sifflement d’approbation de Sacha, je sursautai.

• T’es con, tu m’as fais peur ! Dis-je.
• Désolé, mais c’est que t’es vraiment bonne habillé comme ça ! Ahah
• Roh, mais t’es vraiment con toi ! Répondis-je en riant, c’est qu’il n’avait pas tord le salaud.

On enleva donc nos costumes pour les remettre dans 3 jours à l’occasion de la fête. Je m’en allai donc chez moi, encore un peu troublé d’avoir été excité comme ça après m’avoir vu ainsi vêtu. Cette pensée me troubla les trois jours suivant, puis, ce fut le jour J, la fête allait commencer dans quelques heures, il fallait que je me rende chez Sacha afin de me préparer.

Arrivé chez Sacha, nous nous saluons brièvement, puis nous nous rendons dans sa chambre afin de nous habiller, je remis donc mon costume et je fus à nouveau excité par la vision que j’offrais dans le miroir. Une fois que je fus complètement habillé, Sacha vint vers moi et me dit :

• Hey, maintenant pour que ça soit parfait, mais grande sœur est d’accord de te maquiller.
• Quoi ?! Mais qu’est ce que tu dis ?
• Allez, ça va être marrant, et puis c’est Halloween, qu’est ce que tu t’en fous !
• Ouai, tu as raison, bon d’accord, on y va…

Nous nous rendîmes donc dans la chambre de sa grande sœur Sophie, elle avait 18 ans et était vraiment super belle, j’avais plusieurs fois fantasmé sur elle le soir seul dans mon lit. En me voyant, elle émit un sifflement d’approbation.

• Eh bien, tu es vraiment bien foutue toi !
• Oui, ton frère me l’a déjà fait remarquer ! Dis-je.
• Oui, bien je le comprends, bon viens maintenant, avec un peu de maquillage tu seras parfaite !

C’était la première fois depuis que j’avais enfilé ce costume qu’on s’adressait à moi en utilisant le féminin, ce fut troublant, mais cela me plut. La sœur de Sacha prit une bonne vingtaine de minutes pour me maquiller, je ne pus admirer le résultat qu’une fois qu’elle eut fini son œuvre.

J’étais vraiment, superbe, on aurait dit une de ces femmes qu’on voit dans les magasines playboys. Je m’excitais vraiment beaucoup. Sacha aussi semblait excité au vue de la manière avec laquelle il me déshabillait du regard. Sophie, elle semblait satisfaite du résultat.

Nous nous sommes donc déplacés tous les trois dans le salon afin de prendre un petit apéro, Sophie avait une bouteille de Vodka dans sa chambre qu’elle prit au salon et nous servit à tous les trois une vodka limonade bien tassée, il devait y avoir 2/3 de vodka pour 1/3 de limonade. N’ayant pas mangé et étant de plus petit gabarit que les deux autres, après le premier verre j’eus la tête qui tournait.

Après le quatrième verre, je ne me souvins plus de ce qui se passait. Le premier souvenir que j’eus, c’est d’avoir Sacha qui me soutenait pour rentrer chez lui, tout tournait autour de moi, je devais avoir encore beaucoup but à la fête pour être dans cet état. Voyant que je reprenais mes esprit, il me regarda droit dans les yeux, approcha son visage et m’embrassa à pleine bouche, je me laissai faire.

Je me choquai moi-même à accepter ce baiser, ça devait venir de l’alcool et du costume, qui m’excitai toujours autant à porter. Nous marchâmes à un bon rythme pour rejoindre sa maison, arrivé chez lui, il se coucha sur le dos dans son lit et me regarda avec un regard lourd de sous entendu. Je lui répondis avec un petit sourire afin de lui montrer que j’avais compris et que j’étais d’accord. Il sembla galvaniser par ce sourire et se déshabilla aussi vite que l’éclair pour se retrouver couché sur le dos, nu comme un ver.

Son sexe bandait déjà bien, il était énorme enfin à ce que j’imaginais n’ayant vu que le mien avant celui-ci, il devait faire 22 centimètres de long pour 5 à 6 centimètre de diamètre. Je m’allongeai sur lui, l’embrassa à pleine bouche avant de descendre le long de son torse musclé en l’embrassant centimètre après centimètre jusqu’à arriver devant son sexe bandé à m o r t . Je l’embrasse sur le méat, le lèche dans toute la longueur en direction de ses testicules avant de les gober gentiment une à une, avant de recommencer à le lécher sur toute la longueur avant de poser un délicat baiser sur son gland.

Je le saisis ensuite dans la main droite afin de le diriger vers ma bouche et de commencer à le sucer gentiment, puis avec de plus en plus d’aisance et de plaisir, je le suce de plus en plus fort, jusqu’à ce qu’il saisisse ma tête bien fermement, m’enfonce son sexe au fond de la gorge et éjacule dans ma gorge dans un long soupir de plaisir. Je continue de le sucer encore une ou deux minutes avant qu’il me tire vers lui pour m’embrasser puissamment. Il m’embrasse ainsi longuement, avant de passer sa main sur mes fesses, cette caresse m’électrise, je commence à ressentir une douce chaleur dans mon bas ventre, une chaleur qui est aussi synonyme d’un sentiment de manque dans le bas ventre, je sens le muscle de ma rondelle s’écarter gentiment sous la pression de son index, je fais rouler mon bassin d’un coup sec m’empalant ainsi sur son index qui s’enfonce sans soucis en entier dans mon anus dilaté par l’excitation et l’envie.

Voyant ma réaction Sacha décide de venir entre mes jambes qu’il soulève pour déposer l’arrière de mes genoux sur ses épaules, et là, je sens son gland se présenter devant mon anus. A ce contact je deviens fou de désir et je lui dis : «Vas-y, baise moi ! J’ai envie que tu me prennes maintenant ! ». Il ne se le fit pas demander deux fois, je sentis son gland exercer une pression sur mon anus qui s’ouvrait sans soucis devant son sexe. Je le sentais entrer en moi centimètre par centimètre, cette sensation était tellement bonne que je ne pus m’empêcher de pousser un gémissement de plaisir.

Excité par mon gémissement, il accéléra son entrée en moi et quelques secondes plus tard je sentais ses couilles taper contre mes fesses, ce que cette sensation était merveilleuse. Il me regarda droit dans les yeux et me dit : « Ce qu’il est trop bon ton cul ! T’es vraiment une salope, mais t’es la meilleure des salope ! ». Et dès qu’il eut finit sa phrase, il commença à me limer le fion rapidement, c’est fou ce que c’est bon, je gémis de plus en plus fort, je lui crie de me défoncer comme la petite salope que je suis. Il me traite de chienne, de salope. Ça m’excite tellement que je gémis de plus belle. Après une dizaine de minute de ce traitement, je jouis abondement sur mon torse, en jouissant, j’ai contracté mon anus ce qui a provoqué l’orgasme de Sacha, je sais qu’il a jouit en moi lorsqu’il pousse un gémissement et que je sens cette crème chaude tellement savoureuse me remplir l’anus.

Je suis aux anges, lui aussi, il roule sur le côté, me tire contre lui, il est derrière moi, je sens son sexe qui commence à se dégonfler entre mes fesses. Il s’endort presque immédiatement, moi je suis encore tellement excité que je rêvais éveillé de ce qui venait de se passer.

Nous refîmes l’amour à de nombreuses reprises à partir de ce moment là, c’est comme ça que je suis devenue une travesti, lui en profitait pour m’acheter pleins d’ensembles.

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